Mr. PeG – Photos, Vidéos & Clips
Justice Un-plugged (Live :-)
La photo parle d’elle même : Gaspard Auge joue sur un controler USB débranché, mais nous donne une bonne explication sur le site URB Magazine.
Gaspard offers a reasonable explanation:
« Yeah, shit happens! I remember the story, I couldn’t remember the city but i think it was in Manchester. I didn’t noticed at first, because as you can see I was looking at the computer to launch the next vocal hook and right after I realised that the blue screen went black, so there was no way possible it could work. So I plugged it back in, big deal! And the next thing you know is this picture. »
Gaspard propose une explication raisonnable :
« Ouais, ça arrive ;-) Je me souviens de l’histoire, je ne peux me souvenir de la ville, je crois que c’était à Manchester. Au début, je n’ai pas remarqué car, comme vous pouvez le voir, je regardais l’ordinateur pour lancer les ‘vocals’ suivantes et juste après, je réalise que l’écran bleu etait noir, ce n’etais pas possible que ça fonctionne.
Donc, je l’ai rebranché. La suite, vous la connaissez, c’est cette photo. »
Syndicat de police Contre ‘Stress’ de Justice
Justice a réussi à ce que tout le monde parle de lui avec son dernier clip, «Stress».
La vidéo fait polémique depuis une semaine : le clip montre une bande de jeunes cassant et tabassant tout sur leur passage.
Sur RTL, Frédéric Lagache du syndicat de police Alliance a estimé que «ce genre d’approche est inacceptable, intolérable dans une société qui a d’abord besoin de repères» avant d’ajouter que «l’apologie de la violence est un crime réprimé par la loi».
Le groupe ne doit pas être étonné d’une telle polémique pour un clip vue déjà par plus de 400.000 personnes sur la toile… sans doute plus que pour d’autres clips qui passent par le circuit traditionnel de la télévision.
Bâle sans complexe ! (pas une légende urbaine)
Dès 1996, un activiste bâlois complètement siphonné a tenté à divers reprises d’organiser des nuits insolites en toute illégalité.
On compte à son actif: des soirées ‘tunnel’, se déroulant dans les recoins de l’autoroute en construction (ses plus beaux succès), une soirée à la gare principale (il a tenu une heure au total entre l’installation du sound system et le lancement de la soirée avec plusieurs dizaines de ravers, hélas, la police est curieusement intervenue rapidement) et, cerise sur le gâteau, une rave carrément sauvage au cassamat du siège principal de l’UBS.
Pour ce dernier cas, quelques précisions: cet espace est entièrement vitré, et il se chargeait lui-même de faire entrer les gens au moyen de sa carte de crédit. Là aussi, la soirée n’a pas tenu plus d’une heure, mais les ravers hilares, qui ont participé à ces events de fortune, en parlent encore aujourd’hui!